LOURDES... Sensations intéressantes et fortes. Le temps passe tellement vite quand on est entouré par des personnes différentes et à la fois semblables nous, il n'y a aucune barrière entre culture, couleur, âge... Chaque personne nous apporte son témoignage, ses expériences et nous aide à avancer pour se rendre compte de la beauté des choses. Pendant que l'on travaille tout est toujours plus joyeux et harmonieux. Aucun souci, aucun problème n'apparait à Lourdes. On prend le temps de se poser les bonnes questions, de prier et même parfois de se redécouvrir.
LOURDES, Une expérience humaine à vivre qui change la vision de la vie, avec les personnes qui y participent aussi ! J'ai adoré ces 2 semaines qui m'ont paru très très courtes, j'espère la revivre et revoir les personnes qui m'ont tant apporté !
Yolène Cabral
Je suis Plegne Marcel. Originaire de Guinée Conakry. Né dans une famille Chrétienne, j'ai commencé à connaître le monde spirituel "Dieu" à travers les musulmans, depuis l'enfance"...
En 2009, c’était les débuts de mes progrès spirituels … j'ai commencé par la prière individuelle. Et tout ce que j'ai demandé à Dieu il me l’a directement donné. Mais la conséquence dans ma vie est que ce fut le début d'un combat spirituel, entre mon monde de ténèbres et la lumière.
En évoluant dans la lecture Biblique, j'ai connu Jésus Christ, voici l'homme qui va éclairer qui je suis, ce que je suis, et de qui je viens. Sans oublier également ce que je peux déjà commencé à faire et Comment éviter les ténèbres.
Durant le peu de temps que j’ai passé à Lourdes, j'ai expérimenté que la vraie richesse de Dieu se trouve caché dans la pauvreté, et c'est à nous de le chercher.
Marcel Plegne
Émilie s’est toujours sentie “irrésistiblement attirée” par un rêve : Aller partager la vie des personnes qui ont besoin d’aide, où qu’elles soient, proches ou éloignées...
Quelles sont tes rêves ?
Emilie a inauguré, le 19 mars un “Atelier de couture” pour des jeunes filles. Il a été un espace, un lieu, qui a permis à beaucoup de jeunes qui vivaient dans la pauvreté, la solitude, la
marginalisation, de pouvoir "faufiler" leur histoire, de "broder" de nouveaux rêves, de "raccommoder" des peines et de "coudre" des espérances. Ce projet lui a attiré beaucoup de conflits dans la
ville.
Pour quelles raisons ?
Émilie a découvert qu’il était très enthousiasmant pour elle d’arriver avec sa communauté dans d’autres pays lointains. En 1847 un premier groupe de 4 sœurs est parti vers la Guinée (Afrique). A cette époque les navires étaient à voile, et il était donc indispensable de jouir d’un bon vent, non seulement pour qu’il pousse le navire, mais aussi le courage, les rêves et la liberté.
A quel vent faisons-nous référence ? Quel est le vent dont nous avons besoin aujourd’hui ?
Émilieet sa compagne Françoise s’occupaient de préparer la soupe et quelques autres choses pour les prisonniers détenus à Castres. Elles le faisaient avec beaucoup de générosité et de
compassion. Il y a toujours une seconde occasion de retrouver la dignité et la liberté.
Emilie était très généreuse et accueillante, pour cela quand elle a été inaugurer “Le Refuge”, qui était situé de l’autre côté de la rue qui longe la maison, elle fit placer une cloche que l’on
sonnait exclusivement pour l’arrivée d’une enfant ou d’une adolescente qui entrait comme nouvelle venue et ainsi elle pouvait aller la recevoir personnellement.
Cecilia Bentancourt, Ar-Ur
Dimanche 29 avril : Journée Mondiale de Prière pour les Vocations, nous espérons qu'elle se prépare bien dans vos diocèses et communautés...
Le samedi 14 avril 2012 à 10 heures ont eu lieu à la Cathédrale de Kaolack au Sénégal les Professions Perpétuelles de Marie Thérèse Daba DIOUF, d'Angèle Mayé NDOUR, d'Yvonne SENGHOR. et d'Anne Marie FAYE.