Émilie s’est toujours sentie “irrésistiblement attirée” par un rêve : Aller partager la vie des personnes qui ont besoin d’aide, où qu’elles soient, proches ou éloignées...
Quelles sont tes rêves ?
Emilie a inauguré, le 19 mars un “Atelier de couture” pour des jeunes filles. Il a été un espace, un lieu, qui a permis à beaucoup de jeunes qui vivaient dans la pauvreté, la solitude, la
marginalisation, de pouvoir "faufiler" leur histoire, de "broder" de nouveaux rêves, de "raccommoder" des peines et de "coudre" des espérances. Ce projet lui a attiré beaucoup de conflits dans la
ville.
Pour quelles raisons ?
Émilie a découvert qu’il était très enthousiasmant pour elle d’arriver avec sa communauté dans d’autres pays lointains. En 1847 un premier groupe de 4 sœurs est parti vers la Guinée (Afrique). A cette époque les navires étaient à voile, et il était donc indispensable de jouir d’un bon vent, non seulement pour qu’il pousse le navire, mais aussi le courage, les rêves et la liberté.
A quel vent faisons-nous référence ? Quel est le vent dont nous avons besoin aujourd’hui ?
Émilieet sa compagne Françoise s’occupaient de préparer la soupe et quelques autres choses pour les prisonniers détenus à Castres. Elles le faisaient avec beaucoup de générosité et de
compassion. Il y a toujours une seconde occasion de retrouver la dignité et la liberté.
Emilie était très généreuse et accueillante, pour cela quand elle a été inaugurer “Le Refuge”, qui était situé de l’autre côté de la rue qui longe la maison, elle fit placer une cloche que l’on
sonnait exclusivement pour l’arrivée d’une enfant ou d’une adolescente qui entrait comme nouvelle venue et ainsi elle pouvait aller la recevoir personnellement.
Cecilia Bentancourt, Ar-Ur
Un amour plus fort que toutes mes résistances, mes raisonnements… Être saisie par l’amour de Dieu, par le Christ peut difficilement se raconter ; la grâce divine se donne, se reçoit dans le secret du cœur de chacun, en fonction de nos histoires, de nos besoins, de nos désirs et cela reste très mystérieux même pour celui ou celle qui le vit et ne finit pas d’en découvrir toute la beauté…
Trois questions m'ont été posées pour témoigner lors de la rencontre des consacrés du diocèse de Nanterre pour la fête du 2 février:
Quel est ton cheminement? Quel est le charisme de ta congrégation? Que fais-tu dans ton quartier?
Je vais faire la mauvaise élève, je ne vais pas directement répondre aux questions. J'ai choisi de vous raconter une aventure... une aventure trinitaire 'bleue'. Catherine
Vous pouvez lire "la semaine missionnaire PréJMJ" au diocèse de Petronila où nos soeurs ont été impliquées : "Pastorale des jeunes". cliquer sur traduire.
Voir des VIDEOS, celles-là et d'autres que vous découvrirez vous-mêmes :
http://www.youtube.com/watch?v=lWvdqLtO7Gs
http://www.youtube.com/watch?v=rLIAZMPB78c
http://www.youtube.com/watch?v=Qo7dmZzB-js&list=UUG-lv1ol3s7Q3cFrnkzqd7w
Des Jeunes des quatre coins du monde vivent l'expérience de l'internationalité et expriment leur façon de vivre la spiritualité.
33 personnes du Réseau Bleu, étudiants,sœurs et enseignants y participent.
Jour et nuit vous voyez des jeunes dans les rues qui s'embrassent, font la fête, saluent dans la même langue : amour, foi, joie et espoir que chacun porte dans le cœur.
Les Postulantes de la Comunauté de María Misionera de Santa Cruz de la Sierra en BOLIVIE nous partagent leur enthousiasme.
Des jeunes soeurs d'Afrique sont déjà arrivées.
Ivanete écrit : Angèle et Sophie du Sénégal sont venues nous visiter.
Appoline Kokoun du Bénin, Madeleine NSANG du Gabon sont parties avec le groupe gabonais et ont participé à "une semaine missionnaire" en Afrique du sud....
Un inter-échange très significatif pour un processus de formation. Etre en chemin, aller à la rencontre, se laisser accueillir, interpeller, apprendre, embrasser et reprendre le chemin… a marqué fortement cette expérience de disciples itinérants dans la diversité des Sœurs/Frères, culture, manière d’être et de vivre ensemble.
Les postulantes de Bolivie racontent elles-mêmes à travers ces images leur cheminement et leurs sentiments.
Nous les postulants et postulantes : Savia, Sonia, María Nela et Feliciano, Nous nous réunissons avec les sœurs Susana et Marluce pour regarder, partager et évaluer nos expériences de formation en Bolivie.
Profitant de l’opportunité que nous offre la Congrégation pour grandir dans notre processus personnel comme personnes humaines, complètes et mûres à travers la relation du genre, hommes et femmes partageant la vie, les rêves, la mission, à partir de nos différentes cultures, langues et pays.
Nous, avons vécu des moments de bonheur, de joie, partageant les expériences vitales, dans une ambiance d’ouverture et de dialogue exprimant nos attentes, nos désirs et nos projets.
La méthode utilisée a été celle qui partait de notre propre expérience vital, nous connaitre, prendre contact avec ce que nous sommes, avec ce que nous voulons, cherchant la volonté de Dieu
pour chacun/e.. Nous avons fait l’expérience d’être attentifs à nous-mêmes et à prendre conscience de nos sentiments. Ce furent des moments de réflexion, de prière, de rencontres
personnelles et en groupe.
Sœur Susana nous a aidées à visualiser notre cheminement vocationnel, en partant de notre mission concrète. Avec ces éléments nous avons élaboré notre projet de vie en imaginant quel serait le projet de vie de la Bonne Mère et en recevant la lumière de ses expériences.
Nous avons fini notre rencontre par une célébration communautaire simple et significative avec le texte biblique de Jean 1, 29-41. Nous avons réfléchi sur la suite de Jésus et celle de
nos Disciples ainés/es : Edita, Andrés, Marluce, Lourde, Juana Benigna, Susana et Benedita, ainsi que sur celle Jean Baptiste. Ils nous ont donné leur témoignage de la connaissance de Jésus, nous
invitant à le suivre, nous avons partagé notre expérience de la recherche de la demeure du Maître comme André et Simon Pierre. Cette célébration nous a aidés à comprendre la suite de
Jésus dans laquelle certains sont des disciples ainés/es et d’autres des disciples jeunes comme nous.
Cruz de la Sierra, novembre 2012
Comment 9 jeunes gabonaises
clôturent l'année du Bicentenaire de la naissance d'Emilie de Villeneuve
Pour clôturer l’année du bicentenaire, la communauté de l’Immaculée dans sa mission de formatrice a réuni du 9 au 11 mars les jeunes qui désirent réaliser leur projet de vie dans notre congrégation. (Par sœur Eliane Claire Kenguele)
Dimanche 29 avril : Journée Mondiale de Prière pour les Vocations, nous espérons qu'elle se prépare bien dans vos diocèses et communautés...
Le samedi 14 avril 2012 à 10 heures ont eu lieu à la Cathédrale de Kaolack au Sénégal les Professions Perpétuelles de Marie Thérèse Daba DIOUF, d'Angèle Mayé NDOUR, d'Yvonne SENGHOR. et d'Anne Marie FAYE.
Paris
"Brother and Sister act, missionnaires de l'espérance"
600… nous étions environ 600 « plus jeunes » religieux de France réunis à Rueil Malmaison du 27 au 29 janvier. « Plus jeunes » religieux c'est-à-dire moins de 45 ans ou moins de 15 ans de vœux. (Soeur Catherine 4 février 2012)
AVEC CE MESSAGE VOUS POUVEZ :
Sur KTO Témoignages et
Réflexion >
Missionnaires de l’Espérance
L'espérance : quand notre humanité est travaillée
avec Marie-Laure Durand, théologienne Paris février 2012